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Italie

  
L'Italie L'Italie est un pays d'Europe méridionale, membre fondateur de l'Union européenne, de l'OTAN (ainsi que de l'Union de l'Europe occidentale depuis 1954), ainsi que de la zone euro. Sixième puissance économique mondiale, l'Italie est aussi membre du G8 (et auparavant du G7). L'Italie est une démocratie parlementaire, basée sur le travail, gouvernée selon l'équilibre des pouvoirs établi par Montesquieu, avec trois pouvoirs indépendants : le Gouvernement, le Parlement et la Justice.

Langue officielle Italien
Capitale Rome
Président de la République Carlo Azeglio Ciampi
Superficie 301 230 km²
Population : 59 215 625 hab.
Densité 191 hab./km²
Indépendance 17 mars 1861 (Unification)
Monnaie Euro
Fuseau horaire +1
Domaine Internet .it
Indicatif téléphonique 39


Histoire

L'Italie avant et pendant Rome Avant le développement de Rome, l'Italie était composée de plusieurs cultures et civilisations, pour la plupart indo-européennes (Italiotes ou italiques), sur un substrat ligure du Néolithique. Sur ces cultures qualifiées d'autochtones, empiétaient : au sud, les florissantes colonies grecques de la Grande Grèce, à partir du VIIIe siècle av. J.-C. ; au centre, des peuples italiotes, venus d'Europe centrale à l'âge du bronze, proches des Celtes : Osques, Sabins, Samnites, etc. ; la civilisation étrusque, la seule non-indo-européenne, mythologiquement venue d'Asie mineure, mais dont l'origine autochtone est de plus en plus retenue comme vraisemblable, ayant assimilé une partie des Italiotes ; au nord, des Celtes, arrivés plus tardivement de Bohême, occupent la plaine du Pô, appelée Gaule cisalpine. Le terme même d'Italie évolue pendant l'Antiquité. Pour les Grecs, il s'agissait seulement du royaume voisin d'Italos, le Brutium (actuellement la Campanie, la Basilicate et la Calabre) — peut-être ainsi dénommé à cause de ses troupeaux de bovins. Sous la République romaine, la limite nord de l'Italie s'arrête à la Gaule cisalpine, au niveau des fleuves Aesis - puis en -59 le Rubicon - et Macra. En -42, la Cisalpine est réunie à l'Italie qui s'arrête désormais aux Alpes. Cette dernière limite est fixée au trophée des Alpes mais est ensuite déplacée. Très vite, Rome attribue la citoyenneté romaine à l'ensemble des Italiens, puis l'étend à tout l'Empire (édit de Caracalla, 211-212).

Moyen-Âge
Après la chute de l'Empire d'Occident, l'Italie est dirigée brièvement par Odoacre et ses troupes barbares avant de passer sous domination ostrogothique à partir de 493. Sous leur roi Théodoric (493-526), la civilisation romaine est préservée et la paix est rétablie dans la péninsule. Cependant, cette période de prospérité est vite troublée dans les années 530 avec le commencement de la longue guerre dévastatrice opposant troupes ostrogothiques et troupes byzantines. Cette guerre, qui s'étale sur plus de vingt ans, mène à l'extermination du peuple ostrogoth et à la destruction de l'œuvre de Théodoric, laissant une Italie à feu et à sang, un pays affamé et affaibli par la peste. La reconquête byzantine est éphémère : dès le début de l'année 568, de nouveaux barbares, les Langobards (ou Lombards), qui lègueront plus tard leur nom à la Lombardie, envahissent la péninsule. Les Lombards, restés longtemps à l'écart de la civilisation romaine, mettent l'Italie à feu et à sang, tout en balayant les forces byzantines. Toute la plaîne du Pô est occupée tandis que l'Empire byzantin parvient néanmoins à conserver différents territoires, dont l'Exarchat de Ravenne, Venise et Rome. À la mort de leur roi Alboïn en 572, les Lombards se partagent leurs conquêtes comme une butin de guerre en créant des duchés (Frioul, Spolète, Bénévent, etc…), et au total, c'est une trentaine de duchés qui sont érigés du Frioul à Bénévent. La mort du roi lombard Cleph en 574 met étrangement un terme à la royauté chez les Lombards car il n'est pas remplacé jusqu'en 584, date où la royauté est rétablie avec l'élection de Authari. La capitale lombarde est d'abord Milan puis Pavie à partir de 626. Menacée par les Lombards qui veulent unifier l'Italie sous le joug lombard, la Papauté finit par faire appel aux Francs qui, sous la direction de Charlemagne, s'emparent du royaume et des duchés semi-indépendants du Frioul et de Spolète en 773/74-776. Charlemagne prend alors le titre de « Roi des Francs et des Lombards » (« Rex Francorum Et Langobardorum »). La Papauté se fait reconnaître la pseudo-Donation de Constantin et fonde les États pontificaux en Italie centrale, États qui resteront aux mains de l'Église jusqu'au milieu du XIXe siècle. L'Italie devient alors un royaume satellite des Carolingiens pour finalement disparaître en 1024. Le Saint Empire romain germanique conserve son autorité sur l'Italie du Nord, au travers de vicaires et l'empereur porte avant son sacre le titre symbolique de « Roi des Romains ». L'Italie ne tarde pas à se scinder entre deux factions, les Guelfes et les Gibelins, d'abord partisans de deux familles impériales, puis partisans de la Papauté contre partisans de l'Empire. Entre temps, le sud de l'Italie est conquis sur les Byzantins et les Sarrasins, sur demande papale, par des Normands venus du duché, à l'origine du futur royaume normanno-sicilien (1130), royaume qui passe aux Hohenstaufen en 1194. Plus tard, l'Empire germanique, qui contrôle théoriquement toute l'Italie ainsi que la Sicile, inquiète la Papauté qui offre le royaume napolitain aux Français, aux comtes d'Anjou (les Angevins). Le royaume sarde (qui comprenait initialement également la Corse et qui remplace les quatre judicats) garde une certaine indépendance avant d'être attribué à l'Aragon. Le nord de l'Italie est divisé politiquement entre cités et petites principautés riches et puissantes grâce au commerce avec l'Orient : Venise, Gênes, Pise, Milan. La multiplication des conflits développe le mercenariat et voit l'apparition des condottières : les techniques militaires modernes naissent en Italie à la fin du Moyen Âge et sont ensuite largement exportées dans le reste de l'Europe (en français, le mot soldat et d'autres termes militaires sont d'origines italiennes).

Vers l'unification
Du XIVe au XVIIIe siècle, c'est la Renaissance en Italie avec des artistes tels que Michel Ange ou Raphaël, et des scientifiques comme Galilée qui font littéralement « renaître » l'art et la science, d'abord dans la péninsule puis dans l'Europe toute entière. À l'époque de Léonard de Vinci, l'Italie reste très morcelée sur le plan politique. Elle est constituée d'une mosaïque de principautés (duchés, cités-états ...). Les princes italiens organisent chacun leur propre cour et se livrent souvent à des guerres sanglantes (guerres d'Italie). Les campagnes napoléoniennes ont pour conséquence de bouleverser l'ordre établi. Le souhait d'unifier la péninsule s'appuie alors sur le risorgimento, aboutissant à la proclamation du royaume d'Italie, à partir du royaume de Sardaigne, sous l'impulsion du roi Victor-Emmanuel II, complétée en 1870 par l'annexion de Rome qui devient la capitale du royaume unifié. Voir l'article détaillé de la Renaissance italienne : Trecento, Quattrocento et Cinquecento.

XXe siècle jusqu'à la fin de la Seconde Guerre mondiale
Première Guerre mondiale, 1914-1918 : Bien que faisant théoriquement partie de la Triple Alliance, l'Italie reste neutre au début de la guerre, et finit même par s'allier à la Triple Entente en 1915. En 1918, les frontières italiennes furent rectifiées en sa faveur. Toutefois l'Italie n'obtint pas tous les territoires qu'elle revendiquait (irrédentisme), et le thème de la « victoire mutilée » favorisa l'agitation nationaliste et l'ascension de Mussolini. Benito Mussolini : De 1919 à 1922, l'Italie est secouée par une grave crise sociale, économique et politique. Mussolini l'exploite en brisant les grèves et les syndicats par la violence : il se fait ainsi connaître et bien voir par les milieux d'affaires et le patronat (Confindustria et Confagricoltura). Il utilise pour cela des squadre (escouades), sortes de milices, issues en grande partie des rangs des arditi (venant des troupes d'élite démobilisées en 1918) nationalistes, dont l'uniforme est la chemise noire — qui deviendra un des symboles du fascisme. Après la marche sur Rome en octobre 1922, le roi d'Italie, Victor-Emmanuel III, lui confie le gouvernement. Jouant habilement de mansuétude et de menaces, Mussolini installe progressivement l'appareil fasciste sur le pays. En fin 1943, les Alliés débarquent en Sicile puis pénètrent dans le sud de l'Italie, Mussolini est renversé puis emprisonné, sur ordre du roi. Il fut délivré par un commando allemand la même année. Il installe alors sous l'ordre d'Hitler une "république sociale italienne". Tentant de fuir vers la Suisse, il est éxécuté (puis pendu) par des partisans communistes en 1945. En juin 1946, un référendum serré met fin à la royauté et la République italienne est proclamée.

Seconde moitié du XXe siècle et début du XXIe siècle - Époque contemporaine
L'Italie s'installe alors dans un régime démocratique, dominé par la Démocratie chrétienne et des partis laïques anti-fascistes, qui favorise malgré de fréquentes crises ministérielles, à la fois la reconnaissance internationale, l'intégration européenne et un développement économique sans précédents (le miracle). Un Parti communiste italien de plus en plus fort, et relativement modéré, empêche toute alternance électorale jusqu'en 1976, moment du compromis historique mais aussi des années de plomb, marquées par le terrorisme d'extrême-droite et d'extrême-gauche. Peu à peu, la Démocratie chrétienne, tout en restant incontournable, laisse une partie du pouvoir à des partis moins forts comme le Parti républicain italien ou le Parti socialiste italien. De réformes sociales majeures sont adoptées après référendum (le divorce, l'avortement) ou après le vote de lois (Psicatria democratica). Un climat affairiste, de plus en plus corrompu, s'installe, ce qui provoque l'opération judiciaire dite Mani pulite (Mains propres). Il s'en suit une réorganisation politique massive qui voit la plupart des partis politiques disparaître ou changer d'orientation, ce qu'accentue le référendum de 1993 et l'adoption en 1994 du Mattarellum un système électoral mixte. Ces changements provoquent la descente politique de Silvio Berlusconi dont les affaires avaient bénéficié du gouvernement de Bettino Craxi. S'il est rapidement lâché par ses turbulents alliés (comme la xénophobe Ligue du Nord), il n'en revient pas au pouvoir en 2001 avec une victoire électorale écrasante, après un intermède, dominé par le centre-gauche, incapable de faire aboutir une réforme constitutionnelle majeure. Ce gouvernement Silvio Berlusconi II, le plus long de l'histoire républicaine, est aussi marqué par une crise politique, économique et morale sans précédents. du 6 au 10 novembre 2002 se déroule à Florence, le 1er Forum social européen, à la suite des violents affrontements du G8 à Gênes.

Politique

La constitution italienne de 1948 a établi la Première République, fondée sur le travail (art. 1er). Elle repose sur un régime parlementaire bicaméral :
une Chambre des députés (Camera dei Deputati) de 630 députés ; un Sénat (Senato della Repubblica) de 315 sénateurs (ainsi que d'anciens présidents de la République et de 5 sénateurs à vie, au plus, nommés par le chef de l'État). Le Parlement est élu au suffrage universel direct selon des conditions très similaires. La loi électorale a été substantiellement modifiée, suite à un référendum abrogatif en 1993, pour introduire une part de scrutin majoritaire (75 %) afin d'éviter l'instabilité gouvernementale chronique du début de la République, due, entre autres, à un multipartisme excessif et à l'absence d'alternance possible. Elle a de nouveau été modifiée fin 2005, pour rétablir un scrutin proportionnel de listes bloquées, de façon à réduire l'échec probable de la Maison des libertés. L'exécutif est constitué d'un gouvernement présidé par un Président du Conseil, primus inter pares. Le chef de l'État est un Président de la République aux pouvoirs relativement limités, élu pour sept ans par les chambres réunies (auxquels s'ajoutent des délégués représentant les régions).
La réforme actuelle de la Constitution, adoptée par le Parlement fin 2005, devrait aboutir in fine a la création d'une IIe République dans laquelle l'organisation territoriale serait de type fédéral et où le Premier ministre (nouveau nom donné au chef du Gouvernement) aurait des pouvoirs très étendus tandis que la Chambre des députés compterait 530 députés (-100)) et le Sénat de la République 265 sénateurs (-50). Les sénateurs seraient par ailleurs élus au suffrage indirect. Mais cette réforme doit être confirmée par référendum lors du 1er semestre 2006.
Le gouvernement actuellement au pouvoir (dit de centre-droit) est une alliance composite, appelée Maison des libertés, incluant notamment Forza Italia, le parti créé par Silvio Berlusconi, l'Alliance nationale, héritier du parti fasciste italien, des démocrates-chrétiens de droite, réunis dans l'UDC et la Ligue du Nord. Le 15 avril 2005, l'Union des démocrates chrétiens et le Nouveau Parti socialiste italien quittent le gouvernement de Silvio Berlusconi, en remettant la démission de leurs ministres, ce qui entraîne une crise gouvernementale rapide. Berlusconi démissionne le 20 avril 2005 et est chargé (dès le 22) de former un nouveau gouvernement qui prête serment le 23 avril. Les modifications sont peu nombreuses et les deux partis démissionnaires reviennent au gouvernement. Un seul ministère est créé, sans portefeuille, qui doit se consacrer au développement du Mezzogiorno.

Géographie

Carte de l'Italie

L’Italie est une péninsule qui a la forme générale d’une botte, d’une superficie totale de 301 263 km², y compris les îles, dont les trois principales sont la Sicile, la Sardaigne et l’île d’Elbe. Ses limites extrêmes se situent :
en latitude entre 47° 5 au nord à la Vetta d’Italia dans les Alpes centrales et 35° 29 au sud dans l’île de Lampedusa (golfe de Gabès) ; en longitude entre 6° 32 (est) au mont Tabor dans les Alpes occidentales et 18° 31 au cap d'Otrante dans les Pouilles. Les dimensions maximum sont de 1330 km, du nord au sud, de la Vetta d’Italia à Lampedusa, et de 630 km, d’est en ouest, du mont Tabor au monte Nevoso.
Les frontières de l’Italie sont toutes marquées par des éléments physiques : la mer Ligurienne et la Mer Tyrrhénienne à l’ouest, le canal de Sicile au sud, la mer Ionienne et la mer Adriatique à l’est, les Alpes au nord (mais dans la partie centrale la frontière s’écarte de la ligne de séparation des eaux, la Suisse s’étendant sur le versant sud avec le canton du Tessin). Le territoire italien englobe les deux États confettis du Vatican et de Saint-Marin et possède une enclave en Suisse, la localité de Campione d’Italia sur les rives du lac de Lugano.
Le territoire italien est très accidenté : 23 % en plaine seulement, 35 % en montagnes et 42 % en collines. Deux grandes chaînes de montagne le structurent fortement : les Alpes au nord, avec le point culminant du pays dans le massif du Mont-Blanc et les Apennins qui courent depuis la côte ligurienne jusqu’à Reggio di Calabria. Une seule grande plaine alluviale : la plaine du Pô, d’environ 45 000 km².
Située sur la ligne de contact des plaques africaine et européenne, l’Italie est sujette aux tremblements de terre et possède quatre volcans actifs : l’Etna, le Vésuve, le Vulcano et le Stromboli (ces deux derniers en mer Tyrrhénienne).
Les côtes présentent un très long développement, d’environ 7 500 km (dont la moitié forme le contour des îles).
Du fait de sa position géographique, l’Italie a un climat tempéré, avec de fortes variations régionales dues aux écarts de latitude, aux reliefs et à l’influence de la mer. Les températures moyennes varient de 11 °C au nord (Turin) à 16 °C au sud (Naples), les précipitations de 1 000 à 2 000 mm dans la zone alpine à 600 mm sur le versant adriatique.

Economie

L'Italie est un pays industriel à l'économie diversifiée, dont le produit intérieur brut, global ou par habitant, se compare à ceux de pays comme la France ou la Grande-Bretagne.
L'économie italienne est caractérisée par les constrates régionaux importants, entre le nord (plaine du Pô) très développé, industrialisé, et très dynamique, le centre, autour de Rome dominé par le secteur tertiaire et les fonctions politiques de la capitale, et le sud, le Mezzogiorno, plus rural et qui soufre d'un taux de chômage élevé (de l'ordre de 20 %). Ce déséquilibre perdure malgré les nombreuses politiques menées en faveur du développement du Mezzogiorno. L'autre caractéristique est l'importance des petites et moyennes entreprises, notamment dans le nord-est (Vénétie), qui contribuent fortement à la notoriété du savoir-faire italien dans le monde. À noter cependant que certains secteurs sont très concentrés, tels celui de l'automobile quasi monopolisé par Fiat.
C'est une économie très tributaire des importations pour ses approvisionnements en matières premières et en énergie (plus de 75 % de l'énergie est importée, le pays disposant de quelques gisements de gaz naturel et de ressources en hydro-électricité, mais ayant renoncé totalement à l'énergie nucléaire).De nos jours elle se trouve à la 5 ème place de l'économie mondiale
Au cours des dernières décennies, le pays a poursuivi une politique fiscale stricte dans le but de répondre aux critères économiques et monétaires de l'Union européenne, ce qui lui a permis, grâce également à des taux d'intérêts limités et une inflation plus basse, de participer à l'euro dès sa création en 1999.
Plus récemment, les performances économiques de l'Italie ont pris quelque retard par rapport à ses partenaires européens. Cela a conduit le gouvernement actuel a de nombreuses réformes à court terme en vue d'améliorer la compétitivité du pays et sa croissance à plus long terme. Cependant la mise en œuvre de réformes très souhaitables du point de vue des économistes, comme l'allègement des prélèvements obligatoires, l'assouplissement du marché du travail et la réforme de l'onéreux système de retraites, avance trop lentement tant du fait de la stagnation de l'économie que de l'opposition des syndicats. Source : Wiki


Séjour en Italie

L'Italie en voiture
Le réseau routier est bon dans son ensemble. Cependant, l'étroitesse des voies et les méandres sur certaines autoroutes (Salerne-Reggio de Calabre) peuvent les rendre dangereuses en cas de vitesse excessive. Les routes secondaires dont l'entretien n'est pas parfaitement assuré, peuvent réserver des surprises. Pour tous les véhicules deux roues, obligation de circulation avec feux de croisement allumés en toutes circonstances.
Pour tous les véhicules automobiles, obligation de circulation en feux de croisement de nuit comme de jour sur les autoroutes et voies rapides. En outre, il est impératif de posséder un triangle de présignalisation et un gilet réflechissant homologué (Norme CE). Ce dernier doit se trouver dans l'habitacle (et pas dans le coffre). Pour les automobilistes, l'utilisation d'un mobile n'est autorisée que s'il est équipé d'un dispositif "mains libres".
Les services chargés du contrôle routier sont autorisés à utiliser des appareils automatiques ou systèmes techniques automatiques homologués servant à la détection des excès de vitesse ou de dépassements interdits (radars, photographies, vidéos), à condition que des panneaux de signalement en avertissent au préalable les usagers. Enfin, le taux maximum d'alcoolémie autorisé est de 0,5 grammes d'alcool par litre de sang.
L'autocollant indiquant le pays doit être apposé à l'arrière des véhicules étrangers. La "carte verte" (assurance internationale) est obligatoire. L'impossibilité de payer une amende en cas d'infraction peut entraîner le retrait immédiat du permis de conduire. L'approvisionnement en carburant ne pose aucun problème. Certains malfaiteurs profitent du trafic très dense et crèvent un pneu et, par la suite, prétextent de venir en aide à leurs victimes pour les dépouiller de leurs objets de valeurs, voire de leurs bagages. D'autres scénarios, comme la simulation d'un accident au bord d'une autoroute, sont utilisés. Attention aux camping car, il paraît que beaucoup sont volés en Italie.
Panneaux : couleur verte = autoroute, bleue : autre.
Se méfier des routes "étroites" avant de s'y engager.
Les gens renseignent bien pour les directions, ne pas hésiter à leur demander de dessiner un plan.

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