Chine

Guide des Pays

Guide de la Chine
   Index
   Histoire
   Politique
   Géographie
   Economie
   Culture
   Séjour en Chine

Annuaire de voyage
   Accueil
   Croisières
   Destinations
   Hébergement
   Location de voiture
   Trains
   Séjours
   Vols
   Week-ends

   Les Guides
   Chine
   Croatie
   Espagne
   Italie
   Tunisie
   Turquie





Chine

  
La Chine (Zhongguó, litt. « Pays du Milieu ») est un pays d'Asie, le quatrième pays en superficie au monde. La Chine a une frontière commune avec 14 pays : l'Afghanistan, le Bhoutan, le Myanmar, l'Inde, le Kazakhstan, le Kirghizstan, le Laos, la Mongolie, le Népal, la Corée du Nord, le Pakistan, la Russie, le Tadjikistan et le Viêt Nam. Avec une population supérieure à 1,3 milliard d'habitants, c'est le pays le plus peuplé au monde.

Politiquement, deux États distincts prétendent détenir la souveraineté sur la Chine. Ce qu'il est d'usage d'appeler la « Chine continentale » est dans la pratique administrée par la République Populaire de Chine, fondée par le leader communiste Mao Zedong en 1949 à Pékin, après une victoire militaire rejetant sur l'île de Taiwan le leader nationaliste Tchang Kaï-chek et le gouvernement de la République de Chine, fondée en 1912 par Sun Ya-tsen sur les décombres de l'Empire Chinois de la dynastie des Qing.

Le statut de Taiwan et de la République de Chine en exil sur cette île ne fait pas l'objet d'un consensus. Ce guide traite essentiellement de la République Populaire de Chine (ou RPC), pour ses parties politiques. Depuis 1949, Pékin considère Taiwan comme une province et souhaite imposer le principe d'« une seule Chine » à ses partenaires économiques et diplomatiques. D'autre part, la République de Chine basée à Taiwan souhaite que sa légitimité soit reconnue et une partie de la population de l'île cherche à acquérir une indépendance en droit, tenant compte de l'indépendance de fait vis-à-vis du gouvernement de Pékin. Une tension diplomatique et militaire constante entre les deux rives du détroit de Formose (ancien nom européen de Taiwan), des problèmes de droit international, une quasi-identité ethnico-culturelle auxquels s'ajoutent des enjeux économiques importants, font que le problème de Taiwan est un des points de géopolitique les plus délicats de l'époque contemporaine.

Langue officielle Mandarin
Capitale Pékin
Président Hu Jintao
Superficie 9 596 960 2 km²
Population : 1 300 000 000 hab.
Densité 129 hab./km²
Hymne national La Marche des Volontaires
Monnaie Renminbi (RMB)
Fuseau horaire UTC +8
Domaine Internet .cn
Indicatif téléphonique +86


Histoire

La Chine correspond à un des foyers majeurs de civilisation, et elle est devenue dès la première dynastie des Qin une vaste zone politiquement et linguistiquement relativement unifiée, avec une culture avancée, devançant le reste du monde dans de nombreux domaines tels que les arts, la médecine et les techniques.

Durant deux millénaires, la Chine a subi l'influence alternée de forces centrifuges et centripètes. Lorsque le pouvoir central de l'empereur se délitait et que la cour était la proie des factions rivales et des intrigues, que l'administration ne pouvait plus remédier aux famines et aux catastrophes naturelles et qu'elle ne parvenait plus à contenir la pression des « barbares » qui opéraient de vastes razzias dans les régions frontalières, des mouvements de révolte de paysans affamés déchiraient le pays, des sectes millénaristes voyaient le jour et les provinces lointaines se retrouvaient sous la coupe de chef de guerre ne reconnaissant plus l'autorité de l'empereur. Enfin ceux-ci se proclamaient eux-mêmes Fils du Ciel, divisant l'empire en royaumes rivaux se livrant à des guerres incessantes et montrant ainsi que l'empereur avait perdu le Mandat du Ciel. Quand un chef de guerre, parfois issu de la paysannerie, se révélait plus habile que les autres et parvenait à reprendre le contrôle de l'entièreté du pays, les Chinois considéraient qu'il avait reçu un nouveau Mandat du Ciel et il pouvait fonder une nouvelle dynastie. La Chine a aussi connu deux dynasties étrangères : celle des Yuan, mongole, et celle des Qing, mandchoue.

Les dynasties chinoises qui ont réussi à stabiliser le pays pendant de longues périodes de paix sont celles des Han, des Tang, des Song, des Ming et des Qing. Elles ne correspondent pas forcément aux périodes les plus fertiles de la créativité chinoise mais, à l'exception de la dernière (les Qing mandchous), elles correspondent à des périodes de prospérité pendant lesquelles on peut considérer que la Chine était le plus grand, le plus stable et le plus riche des États du monde.

Même pendant les périodes d'unité, la Chine a toujours consisté en un tissu de cultures très diverses, et la variété des cuisines, des dialectes, des habitudes et des modes de vie ne doit pas être éclipsée par l'étonnante unité culturelle, administrative et politique de ce pays à l'échelle d'un continent. Cette unité et continuité peut être attribuée en grande partie à une particularité de l'écriture chinoise : relativement détachée de la phonétique, elle permet de noter de la même façon des langues et des dialectes très différents.

Lors de la Révolution Industrielle initiée en Angleterre, la Chine des Qing a choisi de se fermer à l'influence étrangère (ce qui n'était pas le cas sous les autres dynasties, en particulier celle des Tang), et on peut considérer que de cette décision date son déclin économique et technologique. Pendant le XXe siècle, elle a été soumise à une très forte pression des puissances économiques, militaires et coloniales occidentales. Contrainte par la force des armes d'accepter les Traités inégaux, qui donnaient aux étrangers des droits d'implantation et de commerce à l'intérieur du pays, elle s'est vue découpée en zones d'influences allemande (dans le Shandong), française (au Yunnan) ou anglaise (ailleurs). En 1911, l'empire est aboli sous la pression des intellectuels et hommes politiques progressistes, et la république est proclamée en 1912. Suit une période d'incertitudes et de chaos, puis l'unité nationale est retrouvée contre l'envahisseur japonais. Le Japon défait par les Alliés, la Chine se divise à nouveau, principalement entre les partisans communistes de Mao Zedong et le parti nationaliste de Tchiang-kai-chek (le Kuomintang). L'armée rouge, après les déboires de la Longue marche, finit par repousser les nationalistes à la mer, et ceux-ci se replient sur l'île de Taïwan. Mao Zedong proclame la République populaire de Chine en 1949 sur la place Tiananmen.

Pendant la seconde moitié du XXe siècle, la Chine continentale est dirigée par le Parti Communiste Chinois. Sous l'impulsion de Mao Zedong, des grands mouvements seront lancés, comme le Grand Bond en Avant ou la Révolution culturelle, dont les conséquences sur le peuple chinois sont controversées et qui provoquent la rupture avec l'Union soviétique. La position officielle chinoise reconnaît que le Grand bond en avant a eu des conséquences néfastes sur certaines parties de la population, et certains analystes considèrent que cette tentative de « rattraper l'Angleterre industrielle en dix ans » a été un des rares épisodes, sinon le seul, ou cette terre chinoise profondément agricole et fertile a été délaissée au point de ne plus pouvoir nourrir ses « enfants » : de 1959 à 1961, le Grand bond en avant fit, selon les estimations, entre 20 et 43 millions de victimes.

Le Parti Communiste a officiellement reconnu que la Révolution culturelle était une erreur de Mao, que le culte de la personnalité qui l'a accompagné a été exagéré, et que le pays a été plongé dans le chaos et l'anarchie. Lors de cette quasi-guerre civile, la culture chinoise classique est mise au pilori et les influences occidentales sont condamnées. Des intellectuels sont torturés ou envoyés dans les « camps de rééducation par le travail » (les laogai), de nombreux temples sont brûlés, des monuments sont pillés par les Gardes Rouges, ces jeunes fanatisés et embrigadés dans le culte de la « pensée Mao Zedong ». La lutte des factions, matée ensuite par l'armée, aurait entraîné la mort de plus de 5 millions de Chinois.

Des observateurs comme Simon Leys (dans son ouvrage Ombres chinoises, 1974) ont très tôt alerté les consciences sur ce drame humain, mais les intellectuels occidentaux (en particulier français) qui ont défendu le maoïsme et la Révolution culturelle à cette époque ont été nombreux.

Après la mort de Mao, la Chine est restée officiellement socialiste (en réalité capitaliste), mais, sous l'impulsion en particulier de Deng Xiaoping, elle a graduellement évolué vers une économie plus libre, dite « socialiste de marché » (en réalité elle est passée d'un capitalisme planifié à un capitalisme de marché, traditionnel), permettant le déploiement de l'activité commerciale et industrielle chinoise, qui en font aujourd'hui l'« usine du monde » et une puissance émergeante dont le taux de croissance s'approche régulièrement des 10 %.

Politique

La Chine se présente comme une « république populaire ». Ses institutions et leur fonctionnement administratif ont été dans un premier temps fortement inspirés par ceux de l'URSS et des autres pays staliniens. Cependant le stalinisme chinois est aussi imprégné de la spécificité chinoise et des désaccords historiques entre la Chine et l'URSS. La principale différence historique peut se voir dans le remplacement, dans la théorie marxiste de la lutte des classes, de la classe ouvrière par la classe paysanne, comme moteur principal de la révolution.

La vie politique chinoise est aujourd'hui encore centrée sur le Parti communiste chinois et son régime peut être qualifié de « démocratie populaire à parti unique ». Dans la mesure où le pays ne connaît pas d'élections nationales, il est difficile de savoir si la population soutient ou non le gouvernement et le Parti. Des entrepreneurs ou des personnalités civiles ont été récemment intégrés dans les mécanismes de décision mais ceux-ci restent peu transparents aux observateurs extérieurs. Des entorses aux Droits de l'Homme et une censure exercée à l'encontre des média sont souvent dénoncés par les associations. Ainsi selon le rapport annuel de Reporters sans frontières publié le 26 octobre 2004, la liberté de la presse n'est pas respectée en Chine, qui se trouve en 162e position sur 167.

Des mouvements pro-démocratiques comme le Mouvement Démocratique Chinois cherchent actuellement à promouvoir des réformes politiques accompagnant les réformes économiques en cours. De même, des dissidents politiques en exil dénoncent l'opacité du gouvernement et l'arbitraire des décisions du Parti. En 1989, les manifestations de la place Tienan Men, durement réprimées par l'armée, ont été perçues comme un recul et une rigidification politique par de nombreux observateurs.

Aujourd'hui cependant, le nouveau poids économique, diplomatique et culturel de la Chine dans le monde, son entrée récente dans l'Organisation mondiale du commerce, l'augmentation sensible du niveau de vie et l'ouverture au monde font que la forme et les motifs des critiques occidentaux ont changé. Ces critiques sont relativement mal perçues par la plupart des Chinois, qui y voient, non sans raison, le signe d'une incompréhension de la réalité chinoise et d'une ingérence malvenue, voire un reste de complexe de supériorité coloniale, quand ce n'est pas tout simplement une carte de plus jouée sur la table des négociations sino-américaines. Cependant le gouvernement central semble prêt à certaines concessions et souhaite que le pays acquière une respectabilité internationale, d'accord sur ce point avec les Chinois eux-même, qui ressentent généralement une grande fierté d'être membre d'un peuple à l'histoire si riche et à la culture si fertile. Pour les observateurs optimistes, la question des réformes politiques est devenue une simple question de temps, celles-ci ne pouvant que suivre les réformes économiques et l'ouverture. Pour d'autres, plus pessimistes, l'évolution politique chinoise est essentiellement cosmétique et seule une nouvelle révolution serait capable de faire entrer la Chine dans la démocratie, préalable à une véritable expansion économique partagée. Il est difficile de recueillir l'avis du peuple chinois lui-même sur ces questions délicates, mais il semble que ceux qui souhaitent de nouveaux bouleversements en profondeur sont très peu nombreux, tant que l'essor économique permet à chacun de tenter sa chance et qu'un minimum de liberté individuelle est préservé.

Géographie

Carte de la Chine

La Chine est le quatrième pays du monde en superficie (après la Russie, le Canada et les États-Unis) et possède une grande variété de climats et de paysages. À l'est, le long des rives de la mer Jaune et de la mer de Chine orientale se trouvent de vastes plaines alluviales très densement peuplées ; les rives de la mer de Chine méridionale sont plus montagneuses et la Chine du sud est dominée par des zones vallonnées et des chaînes de montagnes de faible altitude. Dans le centre-est se trouvent les deltas des deux principaux fleuves de Chine, le Huang He et le Chang Jiang. Parmi les autres rivières importantes, on compte le Xi Jiang, le Mékong, le Brahmapoutre et l'Amour.

A l'ouest, d'importantes chaînes montagneuses, notamment l'Himalaya avec le point le plus élevé de Chine (et du monde), le mont Everest, ainsi que de hauts plateaux supportant des paysages très arides comme les déserts du Takla-Makan et le désert de Gobi. En raison d'une sécheresse prolongée, ainsi peut-être qu'à cause de mauvaises pratiques agricoles, des tempêtes de poussière sont désormais communes durant le printemps en Chine. Selon l'Agence chinoise de protection de l'environnement, le désert de Gobi s'est étendu et est une source majeure des tempêtes de poussière qui affectent la Chine ainsi que d'autres parties du nord-est asiatique, comme la Corée et le Japon. [1]

Le littoral oriental de la Chine est soumis au passage des typhons, des tempêtes tropicales violentes. En 2004, le typhon Rananim a fait 164 morts et 1 800 blessés. On a estimé les pertes économiques à 18 milliards d'euros pour le pays.

Economie

À partir de la fin 1978 le gouvernement chinois a engagé des réformes pour passer d'une économie planifiée de type soviétique à une économie dite « socialiste de marché », dans laquelle la liberté d'entreprise est encadrée par le parti communiste. Par exemple, les autorités ont instauré un système de responsabilité par foyer dans le domaine de l'agriculture pour remplacer l'ancienne collectivisation, elles ont augmenté l'autorité des officiels locaux et des dirigeants d'usines dans l'industrie, permis une grande variété d'entreprises de petite taille dans les domaines des services et de l'industrie légère, et ouvert l'économie à un nombre accru de commerces extérieurs et d'investissements étrangers. La conséquence a été une transformation d'une économie de commande en un système d'économie mixte original, souvent nommé « économie socialiste de marché ». Ce système est de facto fondé sur la base du capitalisme : la recherche des profits. L'ouverture officielle des bourses de Shanghaï et Shenzhen, en décembre 1990 et en juillet 1991, est symptomatique des réformes économiques dans le pays.

Afin de promouvoir les échanges de compétences et de capitaux avec l'étranger tout en les surveillant de près, le gouvernement de Pékin a créé plus de 2 000 zones économiques spéciales (ZES) où les lois relatives aux investissements sont assouplies et où la venue d'étrangers est encouragée.

Le résultat de la politique d'ouverture économique a été le quadruplement du PNB depuis 1978. En 1999, avec son 1,25 milliard d'habitants et un PNB de seulement 800 $ par habitant, la Chine est devenue la sixième puissance économique au monde en termes de taux de change et la seconde après les États-Unis en termes de pouvoir d'achat.

Après une réévaluation survenue le 21 juillet 2005, le taux de change indicatif est de 8,11 yuan pour un dollar.

L'entrée de la Chine dans l'Organisation mondiale du commerce en 2002, sa participation active à Asia Pacific Economic Cooperation, son poids croissant dans l'économie en cours de mondialisation, font que ce pays est sous le regard attentif, parfois admiratif mais le plus souvent inquiet ou critique, des observateurs économiques ou géopolitique du monde entier, qui surveillent en particulier certaines question brûlantes comme l'arrimage du Yuan au dollar US ou la levée des quotas sur les importations de textile.

Excédent commercial en 2004 : 31,9 milliards de dollars. (Le Figaro, 7 juillet 2005)

En 2002, le coût horaire moyen de la main-d'œuvre chinoise dans l'industrie manufacturière s'élevait à 0,6 dollar. (Le Figaro, 7 juillet 2005) En 2000, la Chine était responsable de 15 % des émissions de gaz à effet de serre dans le monde, derrière les États-Unis. En 2004, la production industrielle avait augmenté de 11,5 %.


Culture

En tant qu'entité linguistique et culturelle relativement homogène et continue, dont la longévité surprend (et bouleverse les théories du déclin nécessaire des civilisations), la Chine a développé une culture originale et immense, qui a exploré presque tous les modes d'expressions connus : littérature, calligraphie, peinture, musique, etc.

Elle a de plus inventé un art qui n'a pas d'équivalent dans les autres cultures : la calligraphie, art considéré comme le plus noble et le plus raffiné. Son économie de moyens (un pinceau, de l'encre noire, une feuille de papier absorbant) et son cadre très contraignant (l'ordre et la disposition des traits sont déterminés) en font, paradoxalement, un art dans lequel l'expressivité est à son comble : le pinceau y tient lieu de « sismographe de l'âme ».


Source : Wikipedia

Séjour en Chine

Comprendre
En dehors des considérations climatiques, il faut aussi tenir compte des vacances officielles. Il y a principalement trois grandes dates qui donnent chacune droit à une semaine de vacances à un grand nombre de chinois: le nouvel an chinois, le 1er mai et le 1er octobre. Ces trois dates donnent lieu à une sur-fréquentation des hotels, trains, avions et lieus de tourisme.

Concernant les considérations climatiques, tout dépend de quel endroit on veut visiter. Le sud est soumis à la saison des pluies, le nord est généralement sec. L'intérieur et le nord du pays peuvent être très froid en hiver et très chaud en été. De plus, on trouve des climats extrêmes dans les déserts ou à très haute altitude.

Arriver
Il faut un visa pour entrer en Chine. On peut facilement obtenir un visa touriste (durée de maximum 3 mois) dans une ambassade chinoise à l'étranger. Plus tard sur place, il existe des possibilités d'extension. Si l'on arrive par Hong Kong, on peut faire un visa sur place.

Il existent de nombreux aéroport internationaux, les mieux desservis étant Pékin, Shanghai et Hong Kong. Si l'on ne possède pas de visa, il faudra choisir ce dernier. Une fois attéri on peut faire faire un visa rapidement (le plus rapide étant le plus cher) et ensuite entrer en Chine en train.

Parler
La langue officielle est le chinois mandarin (putonghua). Chaque région, chaque ville a son dialecte plus ou moins éloignés. Le mandarin est appris à l'école dans toute la Chine. Il existe aussi des autres langues officielles (et qui n'utilisent pas les caractères chinois) qui correspondent aux provinces autonomes: Tibétains, Ouighour, Mongol entre autres. Dans les grandes villes et dans les lieux très touristiques, on trouve quelques panneaux bilingue chinois-anglais. Mais il s'agit d'une minorité et les traductions sont des fois incompréhensibles.

L'anglais est enseigné à l'école secondaire. Mais le niveau est plutôt bas. Les Chinois étant nombreux et toujours content de parler anglais, vous trouverez probablement quelqu'un pour vous aider en cas de besoin. Il est quand même conseillé d'avoir de savoir quelques phrases de base et de toujours faire marquer les destinations en chinois.

Acheter
La monnaie officielle est le Renminbi (RMB) ou yuan. Il ne peut se changer qu'en Chine. Sa valeur est rattachée au dolars et suit son évolution. Le yuan se décompose en jiao (dixième) et fen (centième). Dans le langage parlé on dit plutôt kuai à la place de yuan et mao à la place de jiao. Les billets ont les valeurs de 100 kuai, 50 kuai, 20 kuai, 10 kuai, 5 kuai, 2 kuai, 1 kuai, 5 mao, 2 mao, 1 mao, 5 fen, 2 fen et 1 fen. Il existe aussi des pièces de monnaies qui recoupent les valeurs les plus basses dès 1 kuai.

ATTENTION De nombreux faux billets circulent (billet de 100 et de 50 yuan). Observez avec quelle attention ces billets sont examiner par les Chinois. Il vaut mieux faire attention lorsque l'on reçoit des billets de 50 en retour ou que pour une raison ou une autre l'on vous rend un billet de 100.

Dans les grandes villes, les distributeurs automatique d'argent (ATM) sont nombreux. On trouve les réseaux Plus. On peut selon les distributeurs retirer jusqu'à environ 5000 yuan. Mais il vaut mieux aussi vérifier les limites de sa propre banque.

Pour trouver les distributeurs du réseau Plus, Visa et Visa Electron: http://visaatm.infonow.net/bin/findNow?CLIENT_ID=VISA

Dans les magasins, même si les prix sont marqués on peut marchander. Dans les marchés pour touristes, les prix marqués peuvent être très exagérés et négotiable à un quart de ce qui est affiché. Les cartes de crédits ne sont pas utilisables dans tous les magasins et restaurants (seulement les plus chers ou ceux pour touristes).

Manger
Très vite on peut voir qu'il n'existe pas une cuisine chinoise, mais bien plusieurs. Chaque région, chaque ville a sa spécialité. La variété des légumes et des préparations est impressionnante. Au nord on trouvera des pains plats et des nouilles à base de farine. Au sud, plus de riz et de produits dérivés du riz. Les restaurants en occident ne reflète qu'une minorité de cette multitude. Il ne faut pas hésiter à entrer dans un des nombreux restaurants (du moment où il a l'air suffisemment propre). Les menus sont rarement en anglais (sauf dans certains restaurants touristiques) et certains des menus en anglais ne proposent qu'une partie des plats.

La cuisine la plus connue est la cantonnaise, entre autre elle inclue le fameux porc à sauce aigre-douce et les dim sum (vaste choix de raviolis, beignets et autre petits encas). La cuisine sichuannaise est forte et épicée. Elle inclue: le mapodofu tofu et viande hachée cuit avec piment, ail et gingembre ou encore la sauce di yuxiang (littérallement "au parfum de poisson") elle aussi à base de piment et ail. La cuisine pékinoise inclu le canard laqué (kaoya) et la fondue mongole (huoguo).

Pour les végétariens, la Chine reste la patrie du tofu. Ici on le trouve sous de nombreuses formes, mais il arrive qu'il soit cuisiné avec la viande. De nouveau, le plus simple est de se faire écrire sur un morceau de papier ses exigences ou allergies en chinois.

Voici quelques spécialités reconnues :
Canard Laqué : Plus qu'un plat particulier, il s'agit d'un menu entier à base de canard avec comme point culminant le fameux canard laqué. On peut trouver des restaurants un peu partout. Plusieurs bons restaurants se trouve au sud de Qianmen. Fondue mongole ou hot pot - huoguo : Ce plat est plutôt servi en hiver, à ce moment là beaucoup de restaurant le proposent. On peut reconnaître ces derniers aux bonbonnes de gaz sous les tables. Le principe est de faire cuire soit même les ingrédients dans un bouillon bouillant. Le bol peut être séparé en deux avec d'un côté un bouillon normal et de l'autre un bouillon fort.

Santé
En plus des vaccins classiques et celui contre l’hépatite B, il est recommandé pour ceux qui resteraient assez longtemps en Chine, surtout dans les campagnes, de se faire vacciner contre l’encéphalite japonaise (70 euros en France avec une demande qui peut durer 2 mois pour obtenir l’autorisation provisoire d’utilisation du Centre de vaccination de l’hôpital de votre choix). Pour information, l’encéphalite japonaise tue environ 15 à 20.000 personnes par an en Chine. La vaccination contre la grippe semble avoir un effet protecteur contre le SRAS.

Réservez votre séjour en Chine

  • Comparer les séjours en Chine

    Réservez une location de voiture en Chine

  • Location de voitures en Chine

    Réservez un vol en Chine

  • Comparer les vols vers la Chine

    Réservez un hôtel en Chine

  • Réserver un hôtel à prix discount en Chine

    Réservez un circuit en Chine

  • Promovacances - circuit en Chine

    Réservez une location de vacances en Chine

  • Abritel - Location de vacances en Chine





  • Google